L'école des maris
Molière
丈夫学堂
莫里哀
ACTE III
Scène première
ISABELLE
Oui, le trépas cent fois me semble moins à craindre
Que cet hymen fatal où l'on veut me contraindre ;
Et tout ce que je fais pour en fuir les rigueurs
Doit trouver quelque grâce auprès de mes censeurs.
Le temps presse, il fait nuit : allons, sans crainte aucune,
À la foi d'un amant commettre ma fortune.