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《论语》(注释翻译+法语版):第三篇-八佾 3.07

时间:2014-01-26来源:互联网 进入法语论坛
核心提示:《论语》(注释翻译+法语版):第三篇-八佾 3.0
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《论语》(注释翻译+法语版):第三篇-八佾 3.07

【原文】   
3·7    子曰:“君子无所争,必也射(1)乎!揖(2)让而升,下而饮,其争也君子。”   
【注释】   
(1)射:原意为射箭。此处指古代的射礼。   
(2)揖:拱手行礼,表示尊敬。   
【译文】   
孔子说:“君子没有什么可与别人争的事情。如果有的话,那就是射箭比赛了。比赛时,先相互作揖谦让,然后上场。射完后,又相互作揖再退下来,然后登堂喝酒。这就是君子之争。”   
 
III.6. Le chef de la famille Ki offrait des sacrifices aux esprits du T’ai chan. Le Maître dit à Jen Iou : « Ne pouvez-vous pas empêcher cet abus ? » Jen Iou répondit : « Je ne le puis. » Le Maître répliqua : « Hé ! dira-t-on que les esprits du T’ai chan sont moins intelligents que Lin Fang ? »

T’ai chan, montagne située dans la principauté de Lou. D’après les rites, chaque prince feudataire sacrifiait aux esprits des montagnes et des cours d’eau qui étaient dans son domaine. Le chef de la famille Ki, en sacrifiant aux esprits du T’ai chan, s’arrogeait un droit qu’il n’avait pas (il n’était que grand préfet). Jen Iou, nommé K’iou, disciple de Confucius, était alors intendant de Ki suenn. Le Maître lui dit : « Ki suenn ne doit pas sacrifier aux esprits du T’ai chan. Vous êtes son intendant. Le faire changer de détermination, serait-ce la seule chose qui vous fût impossible ? » Jen Iou répondit : « Je ne le puis. » Le Maître reprit en gémissant : « Hé ! s’imaginera-t-on que les esprits du T’ai chan agréent des sacrifices qui sont contraires aux rites, et qu’ils comprennent moins bien que Lin Fang, moins bien qu’un citoyen de Lou, ce qui est essentiel dans les cérémonies ? Je suis certain qu’ils n’agréent pas les sacrifices de Ki suenn. »

 

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