La scène se passe chez un dentiste. La victime lâche un juron. «Qu'y a-t-il, monsieur, demande le dentiste, qu'avez-vous?--Maladroit, répond le client, voilà la seconde bonne dent que vous m'arrachez.--Je suis désolé, monsieur, pardonnez-moi; mais comme vous n'en aviez que trois quand j'ai commencé, j'espère qu'il n'y aura pas d'erreur cette fois.»
La victime était-elle contente du dentiste?--Quelle bévue le dentiste avait-il faite?--Pourquoi n'avait-il pas peur d'en faire une autre?